Devenir kiné :
pourquoi choisir l’ESEM France ?
Pour devenir kiné, plusieurs solutions s’offrent à vous. La plus habituelle est de passer par la première année commune aux études de santé (PACES). À l’issue de cette année de PACES, vous passerez un concours, qui vous permettra ou non d’intégrer une école de kiné publique. Si la PACES ne vous convient pas, vous pouvez alors tenter les différents concours PCB proposés par chaque IFMK (instituts de formation en masso-kinésithérapie). Pour réussir ces concours, il est recommandé aux aspirants kinés d’étudier pendant au moins un an au sein d’une école préparatoire. Enfin, vous pouvez également tenter d’intégrer une école de kiné en passant par les filières STAPS ou Biologie, dans des universités habilitées à préparer les étudiants aux concours IFMK. Si ces trois voies d’accès à une école de kiné semblent offrir de nombreuses possibilités, elles sont toutes basées sur un principe commun : les étudiants doivent réussir des concours très sélectifs pour espérer un jour devenir kiné.
Avec l’ESEM France, la première école médicale française dont les admissions se font sur dossier, vous pouvez pour la première fois espérer devenir kiné sans concours, et poursuivre un programme kinésithérapie en France.
Vous n’arrivez toujours pas à choisir votre voie d’accès aux études de kiné ? Découvrez 3 raisons supplémentaires de choisir de devenir kinésithérapeute avec l’ESEM France.
UN SOUTIEN ADAPTÉ AVEC NOTRE PROGRAMME DE KINÉ
L’ESEM France est une association à but non lucratif, ouverte en 2012 avec une ambition bien précise : permettre aux étudiants recalés au concours de la PACES, à quelques points seulement et malgré leurs très bons dossiers scolaires, d’accéder à des études de médecine en France. L’ESEM France a donc à cœur la réussite de ses élèves et a mis tous les moyens possibles à leur disposition pour les accompagner vers le succès : un nombre limité d’élèves par classe, l’utilisation d’un matériel médical professionnel, et surtout, la présence d’un corps professoral attentif et disponible pour soutenir et aider ses étudiants. À l’ESEM France, nous pensons que le travail de chacun mérite d’être récompensé, et qu’aucun concours ne devrait éliminer des étudiants brillants. Chaque étudiant ayant validé l’intégralité de ses électifs peut donc obtenir son diplôme de masso-kinésithérapie et devenir kiné, quelques soit son classement. En outre, les étudiants ayant échoué à un ou plusieurs de leurs examens peuvent passer des contrôles de rattrapages.
UN APPROFONDISSEMENT DIRECT DE LA KINÉSITHÉRAPIE
À l’ESEM France les étudiants ont l’opportunité de commencer à pratiquer la kinésithérapie dès leur première année d’études supérieures. En effet, n’étant pas obligés de présenter le concours de la PACES ou de se préparer pendant un an au concours PCB, ils commencent immédiatement leur cours de kinésithérapie et peuvent, dès leur première année de kiné, suivre un stage d’apprentissage. Les cours sont également ponctués de nombreux exercices pratiques, effectués sur du matériel médical professionnel et encadrés par des praticiens chevronnés. Pour devenir kiné, nos étudiants passent donc d’abord par l’acquisition d’un savoir-faire complet.
UN CADRE D’ÉTUDE ÉPANOUISSANT
Les étudiants recalés lors du concours de la PACES ou des concours d’entrée en IFMK choisissent parfois de tenter leur chance au tirage au sort permettant l’accès aux études de kiné en Belgique, ou bien passent le concours d’accès aux études de kiné en Espagne. Les chances de devenir kiné en passant par cette voie sont également très limitées et en cas de réussite au concours ou au tirage au sort, les étudiants sont obligés de s’expatrier pour espérer suivre les études de leurs rêves. Si voyager en fait rêver certains, cela peut être très déstabilisant et stressant pour d’autres, contraints de commencer une nouvelle vie sans s’y être véritablement préparé. Avec l’ESEM France, les étudiants ont une nouvelle chance de suivre des cours de kiné en France. À l’issue de leur programme, ils reçoivent un diplôme d’Etat portugais, reconnu dans toute l’union européenne, et peuvent donc exercer leur profession de kinésithérapeute en France.
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